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Nous sommes en tournant de l'histoire de la France, anciennement pays de la liberté

STOP pass inoculatoire
Publié par EM dans Opinion · 18 Août 2021
Tags: Opinion
" Je suis le Docteur Laurent Montesino. Je commence d'habitude par dire que je suis médecin-réanimateur sans conflits d’intérêts, mais là, pour me présenter je vais dire que j'ai l'honneur de faire partie des 10 médecins contre lesquels le Conseil de l'Ordre vient de porter plainte. "

Voici cette liste :
  1. Dr Martine Wonner
  2. Dr Louis Fouché, l'anesthésiste-réanimateur, fondateur de Réinfo Covid
  3. Professeur Luc Montagnier, le prix Nobel de médecine, qui s'est récemment illustré en affirmant que les variants naissaient des vaccins
  4. Dr Peter El Baze, généraliste
  5. Dr Vincent Reliquet, généraliste
  6. Dr Antoine Venault, généraliste (Réunion)
  7. Dr Denis Agret, généraliste
  8. Dr Hélène Bouscal, généraliste (Réunion)
  9. Dr François-Xavier Richez, généraliste
  10. Dr Laurent Montesino, anesthésiste-réanimateur

"Je vais parler en mon nom. Tout ce que je vais dire vient de mes recherches et de mon expérience au travers des trois épidémies. Je vais m'adresser à TOUS les soignants et à tous les français, vaccinés et non vaccinés.

Nous sommes à un tournant de l'histoire de la France, anciennement pays de la liberté, de l'égalité et de la fraternité. Depuis quelques jours commence une nouvelle ère, une ère de dictature, pour le moment, sanitaire, mais qui est en passe de devenir totale. Accepter cette dictature signifie accepter irrémédiablement  la disparition du monde tel que nous l'avons connu. Ne pas résister signifie s'enfoncer sans espoir de retour dans une société de  contrôle et de surveillance, remplie d'obligations, toujours plus nombreuses, où chaque être humain perdra la propriété de son propre corps.

Il n'est plus ici question de politique sanitaire, il n'est même plus question de vaccination, il est question de liberté. Chaque être humain est propriétaire de son corps et chaque être humain est libre de décider de sa vie. C'est le fondement des Constitutions de la liberté. C'est le socle sur lequel doivent reposer les nations et c'est la règle la plus élémentaire du respect que les gouvernants doivent à leurs populations.

Or cette liberté de disposer de son propre corps est en train de disparaître.  Et au nom de quoi ? Une maladie, dont le taux de mortalité est inférieur de 0,05%, ce qui signifie que plus de 99,5% de patients diagnostiqués positifs survivent. Pour une maladie que n'est mortelle dans immense majorité des cas que pour des patients âgés ou porteurs de lourdes comorbidités. Pour une maladie contre laquelle il existe des traitements efficaces. Dont on essaie d'interdire la prescription depuis plus d'un an.

En ce jour je vais parler sans langue de bois. Aujourd'hui je parle sans peur, car je suis dans la vérité et la détermination. Je veux aller jusqu'au bout de mes convictions et me battre pour une cause juste.

Je ne me ferai pas vacciner. Et s'il devient impossible pour moi d'exercer mes fonctions de réanimateur en période de pandémie où les réanimations risquent d'être débordées et en manque de personnel, euh bien... je changerais de métier.
Etant donné que je risque de devoir arrêter ma vocation de médecin après 25 ans d'exercice, je vais dire très clairement ce que je pense en espérant pouvoir faire réagir les gens qui croient encore à la liberté.

Et je le redis : ce message s'adresse à tous, vaccinés et non vaccinés. Car si les non vaccinés se vaccinent, les vaccinés vont devoir se re-vacciner qu'il le veuillent ou non. Sinon ils auront le même statut que les autres : pas de loisir, pas de transport, pas de culture, pas de revenu, pas de vie.

Et vu que cette tyrannie a une justification scientifique très discutable,  et répond essentiellement à une logique politique, qu'est ce qui empêchera à M Macron  d'imposer une quatrième vaccination, puis une cinquième, et d'en imposer aux jeunes enfants, aux nouveau-nés ? Qu'est que vous dit que cette vaccination ne deviendra pas rapidement trimestrielle, mensuelle ? Qu'en avenir pas si lointain on ne vivra pas tous masqués en permanence sans plus pouvoir nous toucher ?
Cette privation de liberté concerne tout le monde. Nous sommes tous embarqués dans cette galère funeste, qui nous importe vers mindstorm glauque et nauséabond. Cette annonce constitue un tournant. Si nous acceptons ce chantage nous accepterons tout et notre avenir sera scellé.
Car le gouvernement sera qu'avec la menace et la manipulation il peut tout nous imposer.
Cette allocution présidentielle sonne faux.  Et par delà d'effet de violence j'ai senti les actions de mensonges, de tromperie. Il faut en avoir une conscience très claire : il ne s'agit pas de maladresse, d'erreur, voire d'incompétence. Il s'agit de manipulation mensongère, pleine de dissonances cognitives. Et des mensonges, il y en a eu.  Je vais vous faire quelques petits rappels.
Histoire des masques.
Le premier des mensonges évidents. On nous a dit, répété, que le port des masques chirurgicaux pour la population générale, en extérieur comme en intérieur, ne servait à rien. Premier ministre, ministre de la santé, responsable des hautes autorités sanitaires, on nous a expliqué que non seulement ça n'avait aucune utilité mais qu'en plus, ça risquait de favoriser la contamination. Car la manipulation des masques nécessite une certaine technicité, et des changements réguliers et donc que c'était destiné aux soignants. Quelques mois plus tard, alors que la pression du virus avait diminué, on nous impose les masques. A l'intérieur et à l'extérieur. On insistait à tout les abus de pouvoir : à des contraventions, à des gens sans masque seuls au milieu d'une plage, ou d'un parc immense...  

Je vais vous dire ce que j'ai appris lors de mes études médicales. On doit porter un masque dans le cadre d'une pathologie respiratoire, lorsqu'on est malade, lorsqu'on présente des symptômes cliniques. Si l'on ne présente aucun signe, même si on en est le porteur sain, il n'y a aucun risque de transmission du virus. Le masque n'est utile qu'en cas de patrologie symptomatique ou, pour les rares personnes, dont le système immunitaire est déprimé, ou porteurs de très lourdes pathologies. Et dans ce cas ce n'est pas un masque chirurgical qu'il faut porter mais un masque spécial, dit FFP2, qu'on doit manipuler avec précaution et changer toutes les 4 heures.

Le port de masques pour une population entière est une technique de manipulation politique destinée à maintenir dans la peur et l'isolement. De nombreuses études ont démontré une inutilité clinique de cette mesure.
Seconde mensonge et non de moindre, le confinement.
Le confinement ne peut que favoriser la contamination et diminuer l'apparition d'une immunité collective naturelle. Là encore, des études le montrent clairement et on en a eu la preuve en Suède. De plus, si le confinement censément mis en place pour permettre au système hospitalier de pouvoir absorber les patients, avait été efficace, on aurait dû observer un aplatissement de la courbe épidémique et un rebond enfin lever. Or les courbes n'ont jamais été aplaties et on n'a observé aucun rebond. Le confinement aussi était une mesure politique.
Une mesure qui a été déclinée par la suite sous forme de couvre-feu ou de confinement ciblé juste à certains endroits ou à certains moments, les moments où il pouvait y avoir le plus de convivialité. Le gouvernement a arbitrairement décidé que pour aller travailler on ne risque rien. Mais qu'en revanche, faire du sport, se détendre, aller au restaurant, au cinéma, aller faire du ski, constituait un danger mortel, face aux études à l'appui.
Je voudrais à présent aborder le sujet des traitements.
J'ai vécu les trois épidémies en réanimation, j'ai pu constater la même chose à chaque épidémie : les gens qui arrivent en réanimation avec des formes graves n'ont reçu aucun traitement. Qui ont été abandonnés chez eux avec la proposition de prendre du Doliprane. On ne les a même pas revus, pas surveillés. Or, il est indispensable de surveiller un patient qui attrape la covide, particulièrement s'il est à risque. Pour ça il faut le revoir et prescrire une surveillance de son oxymétrie de pouls, pour surveiller son oxygénation, et surtout en prescrire un traitement.

Il y a plusieurs types de traitement. Ceux qui font consensus et les autres.

Les traitements qui font consensus sont les corticoïdes, les anti-coagulants. Ces traitements sont administrés par tous les médecins, ils ne nous démontrent une efficacité que... dans les formes graves. Les traitements qui ne font pas consensus sont les traitements qui doivent être administrés très tôt, il s'agit de l'hydroxychloroquine, de l'Azithromycine, de l'Ivermectine et des vitamines, et il y en a d'autres. Ces traitements ne sortent pas de nulle part, de nombreuses études démontrent leur efficacité sur l'apparition des formes graves et sur la mortalité.
...
Non seulement ces traitements ne font pas consensus mais on essaye de dissuader les médecins de le prescrire, pourquoi ? Si on peut discuter de leur efficacité, en revanche il n'y a aucune discussion sur leur innocuité. Donnés à des doses thérapeutiques, ils ne présentent aucun danger. Or de nombreux médecins en ayant traité ont été inquiétés par le Conseil de l'Ordre et certains ont même dû subir une expertise psychiatrique.

Je ne comprends pas. La médecine a-t-elle changé la liberté de prescription ? Aurait-elle disparu, on ne peut plus de nos jours agir à son âme et conscience pour le bien des patients à partir du moment ou on ne les fait courir aucun risque ?

Les médias veulent nous faire croire que le débat est tranché, il n'y a aucun traitement contre la covid. Pourtant lorsqu'on lit ces plusieurs dizaines d'études, lorsqu'on les analyse, les résultats sont tout à fait intéressants, convaincants. En tout cas, en absence d'alternative et devant leur innocuité il paraît logique d'essayer de traiter des patients avec ces molécules, mais qu'a-t-on à perdre? Rien. On a tout à gagner.

Le Dr Anthony Fauci, responsable de la gestion de covid aux USA, lui-même a admis l'efficacité de l'hydroxychloroquine au début de la pandémie dans ses mails qui viennent d'être rendus public. Je n'invente rien, tout est vérifiable, faites vos recherches.
...

On a monté une fausse étude en 2020 pour démontrer que hydroxychloroquine est une molécule dangereuse. Le médicament qui a été utilisé depuis 40 ans, à partir de cette fausse étude, publiée dans une des plus grandes revues médicales, le Lancet, l'hydroxychloroquine a été interdite à la prescription. Et même si après l'apparition de cette étude le mensonge a été dévoilé, l'interdiction, à elle, a persisté. Comment peut-on interdire aux médecins de prescrire un traitement? Les médecins sont responsables de leurs actes, responsables de leurs prescriptions. Ils connaissent leur métier, ils prescrivent en connaissance des causes. En réanimation la plupart des médicaments que j'utilise, présentent 100 fois plus de danger que hydroxychloroquine, et je les prescris tous les jours ! Alors pourquoi cette interdiction ?

Serait-ce en rapport avec le fait que dès la mi-janvier 2020 hydroxychloroquine en vente libre depuis des années, a été de nouveau classée dans la liste des substances vénéneuses ? Pourquoi juste à ce moment-là ? Est-ce encore un hasard si une des plus grandes usines fabriquant  l'hydroxychloroquine dans le monde a brûlé en décembre 2020 ?

Le problème des tests.
(écoutez la vidéo à partir de 15:30)
Enfin nous arrivons au plus troublant, la vaccination.
...
L'efficacité des vaccins n'est que partielle.  

L'efficacité des vaccins est devenue particulièrement cotangente du fait de l'apparition du nouveau variant. Définition de "cotangente" : " de moins d'importance, fortuite, incertain".  L'efficacité des vaccins est devenue particulièrement incertaine du fait d'apparition du nouveau variant.

Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et au décès. Je répète : "aux formes graves et au décès". En cas d'inefficacité du vaccin ou de réinfection post-vaccinale du fait d'une immunosénescence ou dérivence d'un variant.

Même lorsqu' il y a une inefficacité  sur une personne concernée, en l'état des connaissances scientifiques le vaccin ne vous empêche pas de transmettre le virus au tiers. L'impact de la vaccination sur la propagation du virus n'est pas encore connu. C'est le ministère de la Santé qui a écrit ça, au mois de mai 2012.

Ces éléments sont très importants. Et très officiels. Je voudrais en ma qualité de médecin rappeler deux ou trois notions de base que j'ai apprises tout au long de mon cursus médical.

Le coronavirus est un des virus qui mute le plus. Les vaccins favorisent la mutation tout comme les antibiotiques favorisent les mutations des bactéries. Il n'est pas logique de vacciner pendant une épidémie. La vaccination doit se faire après la phase épidémique pour éviter des réactions inappropriées du système immunitaire. Au plus l'efficacité d'un traitement ainsi effectué partielle, au plus le risque d'avoir des mutants est important. Ce sont les notions de base. que tout étudiant en médecine apprend durant son cursus.

Si on s'appuie sur la réponse du ministère et si on intègre les généralités que je viens de citer, où est la logique de vouloir vacciner toute la population entière ? On vient de voir dans la réponse du ministère que la vaccination n'empêche pas la circulation du virus. Alors qu'on n'est qu'à 20% , 50% ou 100% des vaccinés le virus circulera quand même.
De plus, si la vaccination entraîne la production  d'un variant, ce qui est clairement le cas lorsque l'on regarde ce qui se passe en Israël  et au Royaume Uni, il est logique de penser que plus on va vacciner, plus il y aura de variants.
Alors ne serait-il plus cohérent de réserver la vaccination aux sujets les plus à risque et aux personnes âgées et aux porteuses d'importantes comorbidités. Les sujets jeunes ont beaucoup moins de chance de présenter des problèmes médicaux du fait du vaccin que de la covid.  Est-il logique de vouloir vacciner les sujets les plus jeunes avec un produit non dénué des effets secondaires, et je rappelle qu'il y a eu des morts, et des hospitalisations chez les patients très jeunes juste après la vaccination.
Alors qu'il est illusoire d'attendre d'une immunité collective  du fait de l'apparition inéluctable de variants. Je vous laisse réfléchir à cette question.

Je vous cite des effets secondaires de tous ces vaccins :
... "

Appel aux Français du Docteur Laurent Montesino médecin réanimateur (À voir et à partager)


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